Comment se porte le marché de l’immobilier en 2019 ?
L’immobilier a trait aux activités commerciales ou privées en rapport avec les biens immobiliers. Ces derniers sont des biens qu’on ne peut déplacer. Ainsi, il s’agit des terrains non construits ou de n’importe quel bâtiment. Le bien immobilier en tant que bâtiment peut être un bureau. Il peut aussi être une partie du bâtiment. Le secteur de l’immobilier est un secteur très porteur. En effet, de plus en plus de personnes y investissent et c’est à raison. Ce domaine peut rapporter des profits considérables. Dans cet article, découvrez comment se porte ce secteur de nos jours.
La vitesse d’évolution du secteur immobilier diffère selon chaque marché
Il faut savoir que les propriétaires de biens immobiliers sont de plus en plus favorisés. En effet, on note un volume important de transactions. Ainsi, dans certaines régions, elles sont allées jusqu’à 43 520 ventes au cours du premier semestre de 2019. Les biens qu’ils soient neufs ou vieux sont demandés. Il faut cependant noter qu’à un moment donné, les anciens logements sont devenus les plus prisés. Ainsi, il a été noté jusqu’à 8 % de ventes en plus pour de tels logements.
Quant aux investisseurs, ils sont un peu déroutés face au poids de la fiscalité. Celle-ci constitue une entrave à l’achat des biens immobiliers depuis 2019. L’avis des experts sur la question est que cette année, la situation risque de ne pas changer.
Par ailleurs, il a été remarqué une certaine baisse des prix des biens immobiliers dans certaines régions. Dans d’autre part contre, c’est tout à fait le contraire. Ainsi, il y a une flambée des prix dans certaines villes. Ceci amène à dire que les marchés de l’immobilier n’évoluent pas tous de la même manière.
D’autres ont une vitesse d’évolution élevée tandis que d’autres tardent à prendre leur envol. En réalité, la localisation du logement et les atouts dont dispose la ville où il se trouve semblent jouer un rôle important sur cette évolution.
Dans la capitale française Paris, le m² est à plus de 10 000 € à certains endroits. Dans une autre ville, on a compté une hausse de presque 11,7 % sur le prix des biens immobiliers. Toutefois, dans certaines grandes zones, les prix sont plus ou moins stables. Ainsi, on remarque une augmentation de 3,5 % en 2019 contre 3,9 % en 2018. Dans d’autres zones encore, les prix ont même chuté de 8,3 % sur une durée d’un an. Il faut savoir que ceci ne concerne pas tous les biens immobiliers, car les prix des maisons ont été maintenus dans certaines villes.
En outre, il a été remarqué qu’au sein d’une même ville, voire d’un même quartier, les prix sont bien différents. Ainsi, dans une ville, un appartement neuf peut coûter entre 3 500 € et 5 000 € le m², tout dépend alors du quartier. Toute cette disparité rend la situation bien compliquée pour les acheteurs de biens immobiliers.
Les investisseurs locaux comme étrangers sont intéressés par l’immobilier
Comparativement à 2018, les volumes d’investissement dans l’immobilier sont plus élevés en 2019. Les investisseurs qu’ils soient français ou non sont décidés à y investir. Les experts pensaient que le volume d’investissement serait le même qu’en 2018, mais heureusement on remarque une hausse. En outre, on remarque un investissement de plus en plus important dans les actifsrésidentiels. Ceci est dû au fait que ces derniers sont plus rentables. De plus, ils ne sont pas aussi éphémères que les autres types d’actif.
Par ailleurs, on a constaté 985 000 transactions dans le domaine de l’immobilier ancien à la fin du mois de mars 2019. Ceci est 2,6 % plus important qu’en 2018. Dans certaines villes, il a même été noté une hausse de 9 % sur une période d’un an. Dans les faits, le marché de l’immobilier ancien dépasse 1 million de transactions depuis juin 2019. Il poursuit sa progression et arrive à atteindre 1 063 000 à la fin du mois d’octobre. Depuis, on constate que chaque mois, il ne cesse d’augmenter en glissement annuel.
Pour ce qui est de l’immobilier neuf, il est moins populaire. Les investisseurs se tournent moins vers lui. Ainsi, on relève une baisse de 10 % sur un an. Cela est dû au fait que les logements neufs coûtent de plus en plus cher. En plus, les marges de négociation des prix sont devenues plutôt réduites. Alors, ce secteur avance à contre-courant par rapport à l’immobilier ancien.
Ainsi, on a constaté que moins de logements neufs sont mis en vente. Cette baisse est évaluée au taux de 20 %, comparativement à ce qui a été obtenu au troisième trimestre de 2018. Il semble que la baisse ne peut se convertir en hausse de sitôt. En effet, on se trouve dans la période précédant des élections. Ainsi, moins de permis de construire sont délivrés. Alors, moins de nouveaux logements peuvent être construits. C’est la raison pour laquelle les demandes de logement au premier semestre 2020 se portent surtout sur les biens immobiliers anciens. Il ne reste plus qu’à espérer que la situation change au second semestre.
En ce qui concerne l’immobilier d’entreprise, la situation est plutôt encourageante. En effet, au premier trimestre de l’année 2019, ce secteur comptait comme investissement au moins 3,8 milliards d’euros. Comparativement aux 10 dernières années, c’est une hausse de 35 % qu’on a là. En outre, il faut noter que les investisseurs sont à 59 % des étrangers. De plus, le secteur de l’immobilier d’entreprise se veut de plus en plus innovant. Ainsi, il semble qu’il ait de beaux jours devant lui.
On note que les activités immobilières en fin d’année 2019 sont restées soutenues. Fort heureusement, ce n’est pas pour autant que les prix ont subi une accélération exagérée. On peut, ainsi, dire que le marché de l’immobilier est cohérent bien que dynamique. Ceci est dit en tenant compte du nombre de logements produits et du niveau de rotation du parc immobilier.
Alors, le marché de l’immobilier a plus ou moins retrouvé son rythme en 2019, malgré quelques disparités. De plus, ses prix et ses tendances présagent une certaine évolution favorable en fin 2020. Il ne reste plus qu’à surveiller ce marché pour se tenir informé, car il semble plein de surprises.
